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comme tu le dis, en page d'accueil, il faudrait "se trouver".
En effet les températures printanières découragerons moins les peu courageux à venir manifester, et elles découragerons moins les courageux, une fois le moment de la "dispersion" venu.
La côte de popularité (certainement trafiquée) de Sarko en chute libre, des millions dans la rue, le flonflon de Lagarde ne suffiront peut-être pas à faire tomber le chancelant..
Mais doit-on le faire tomber?
"La démocratie" diront certains.. certes..
Mais le "vol" du pouvoir est total, la provocation permanente, les contre-pouvoirs inexistants.
Alors quoi? La joie des barricades? Quel quartier? Libérer Coupat?
Elles feraient des martyrs de l'état policier, et alors? .. certains aiment chanter la chanson qui dit: "Ami, si tu tombes, un ami sort de l?ombre à ta place"...
